Dans un article de l’Équipe, paru aujourd’hui, le président du club Waldemar Kita a apporté de nouvelles précisions à propos du controversé poste d’entraîneur. Et non sans une forme d’agacement.
Patrick Collot, une solution à court terme
Depuis le départ de Christian Gourcuff, limogé lundi dernier, une nouvelle personne a pris les rênes de l’équipe première des Canaris. Et cette personne n’est pas inconnue de la majorité des fans du FC Nantes. En effet, Patrick Collot, entraîneur adjoint du club depuis 2018, a été nommé coach par intérim. Une solution qui ne pourra néanmoins pas s’inscrire dans le futur, à l’exception du proche. En effet, Collot ne possède pas le diplôme indispensable pour entraîner au plus haut niveau, le BEPF. Le club a un mois devant lui pour lui trouver un remplaçant, où il s’exposera à une amende de 25 000€ par match.
Le prête-nom, pas une solution pour Kita
Une situation qui n’empêche pas Waldemar Kita de dormir, plus préoccupé par ses discussions avec la mairie à propos d’un futur centre d’entraînement. Le président nantais affirme ne pas avoir eu de plan B en tête en cas d’éviction de Christian Gourcuff, il a donc dû agir dans la précipitation en nommant Patrick Collot. Il paraît en revanche réticent à l’idée d’avoir recours au prête-nom, solution pour contourner l’amende en ayant sur le banc un entraîneur diplômé « fantôme », l’équipe étant dirigée par l’adjoint :
Le prête-nom, ce n’est pas une solution
Pour ses futures recherches d’entraîneur, Waldemar Kita déclare vouloir demander l’aide de son ex-entraîneur Gourcuff pour trouver son 18ème entraîneur, en 13 ans.
Louis C.