
Ces dernières années, quels ont été les Nantes – Toulouse les plus marquants ? Nous en avons sélectionné trois.
L’approche du match entre les Canaris et le Téfécé est l’occasion de revenir sur les confrontations entre les deux équipes de ces dernières années. Forcément, au moins deux matchs vous viennent en tête : ceux des barrages, disputés par les Jaune-et-Vert à l’issue de la saison 2020/21 pour se maintenir en Ligue 1.
Un maintien in-extremis
Après un premier duel maîtrisé (1-2) par les Canaris au Stadium de Toulouse le 27 mai 2021, dans un stade encore vide à cause de la crise sanitaire, c’est avec une avance d’un but que les joueurs d’Antoine Kombouaré abordent alors le match retour à la Beaujoire.
Mais là, désillusion. Toulouse se montre bien plus dangereux que trois jours auparavant, et parvient à ouvrir la marque à l’heure de jeu. Et tout s’est joué sur un pénalty non sifflé. Malgré la main de Charles Traoré dans sa surface de réparation, l’arbitre de la rencontre ne désigne pas le point de pénalty après consultation de l’assistance vidéo. En d’autres termes, si l’homme en noir avait sifflé et que le TFC avait transformé son pénalty, les Violets filaient en Ligue 1. Une décision surprenante qui a eu le don d’agacer les dirigeants toulousains.
Triplé d’Emiliano Sala à la Beaujoire
L’autre fait marquant, c’est le festival offert par le buteur argentin Emiliano Sala devant le public de la Beaujoire en 2018. Des buts à la 25′, 71′ et 77′ couplés à une réalisation de Gabriel Boschilia avant la mi-temps permettront aux Canaris de l’emporter quatre buts à zéro. À l’issue de cette rencontre, le FCN occupait alors la dix-huitième place, mais terminera l’exercice douzième.
Un bilan équilibré à la Beaujoire
Toutes compétitions confondues, Nantes et Toulouse ont presque autant gagné en terres nantaises ces dernières années. Quatre victoires sont à mettre au compte des Canaris, contre trois pour les Toulousains et trois matchs nuls. Fait à souligner, le Téfécé ne s’est pas imposé à la Beaujoire en championnat depuis 2014.
Arthur J.