Maintenu in-extremis en Ligue 1, le FC Nantes s’est classé seizième sur vingt à l’issue de la saison 2022-2023. Alors que toutes les rencontres ont été disputées, le site officiel du championnat a publié un article détaillant les performances physiques individuelles et collectives des différents clubs.
Le FC Nantes 16e sur 20 au nombre de km/match.
Du côté Jaune-et-Vert, le club se positionne à la seizième place au classement des équipes qui parcourent le plus de kilomètres par match, avec une moyenne de 113,7 km/match. Seules quatre équipes affichent donc une moyenne plus faible que le FC Nantes : Monaco (113,3), Auxerre (111,5), Montpellier (110,7)… et Paris (110,4), pourtant sacré champion de France.
C’est le Stade Rennais qui domine ce classement pour la deuxième saison de rang (118,9 km/match). Reims (117,5) et Lens (117,3) complètent le podium, tandis que la lanterne rouge Angers (117) occupe la quatrième place.
Vous l’aurez compris, ce classement ne reflète évidemment pas la qualité du football proposé par chaque équipe, ni son efficacité. Cependant, il est toujours intéressant de regarder l’évolution de ce classement en comparaison aux saisons précédentes. Pour rappel, à la fin de l’exercice 2021-2022, le FC Nantes se positionnait à la 19e place de ce classement, avec une moyenne de 111,6 km/match… une nouvelle fois devant le PSG.
Également, notez qu’aucun Nantais n’apparaît dans le top 9 des joueurs qui parcourent le plus de kilomètres par match. Pour rappel, début avril, Pedro Chirivella se classait à la deuxième place dans cette catégorie statistique. En cause, la pubalgie qu’il traîne depuis la saison dernière, qui l’a notamment contraint à baisser en intensité sur certains matchs et a parfois poussé le coach des Canaris à le remplacer avant le terme de certaines rencontres.
Sprints : les Canaris au-dessus de la moyenne.
Au niveau des courses à haute intensité, les Jaune-et-Vert sont bien mieux classés. En effet, les Nantais pointent à la 7e position avec une moyenne de 150 sprints par match. Un léger progrès, puisque cela représente quatre unités de plus que la saison dernière.
Dans ce domaine, le podium est composé de Lens (168 sprints/match), Rennes (161) et Marseille (154).