- Moussa Sissoko (photo : Arnaud Duret/FC Nantes)
Dans un entretien réservé au journal l‘Équipe, le milieu de terrain nantais revient sur les coulisses de sa signature au FC Nantes.
Ce mardi est paru dans le quotidien l‘Équipe, un entretien avec la nouvelle recrue phare du FC Nantes, Moussa Sissoko. Les deux sujets majeurs abordés sont les coulisses de la signature du contrat ainsi que les ambitions du retour en Bleu, dans l’optique de la Coupe du Monde au Qatar.
Bakari Sanogo, un acteur clé dans la signature de Sissoko
Lors de la conférence de présentation du joueur, une question a été soumise concernant la potentielle implication de l’agent Sanogo. Franck Kita avait tout de suite pris les devants en affirmant qu’en aucun cas Bakari Sanogo n’était un élément clé dans la signature de Sissoko à Nantes. Cependant, les récents problèmes judiciaires et scandales provoqués par l’agent du FC Nantes ont poussé le fils du président Kita à vouloir occulter les coulisses du contrat. Cependant Moussa Sissoko affirme en entretien : « Oui, je sais que mon oncle (Bakari Sanogo) a une très bonne relation avec le président, c’est aussi ce qui a fait accélérer le mouvement. »
De plus, selon les informations communiquées par le milieu de terrain français, les premiers contacts ne se sont fait que très peu de temps avant la signature du contrat. Et le transfert aurait été le plus simple à gérer de toute la carrière du joueur.
« Est-ce que Bakari Sanogo a facilité le deal ? »
Franck Kita a vite pris la parole 😅 #FCNantes #MoussaSissoko pic.twitter.com/mN7Hd67Vhf— FCN en parallèle (@FcnParallele) July 2, 2022
Un retour en Bleu possible ?
C’est parfaitement envisageable selon le principal intéressé. En effet, la raison évoquée concernant la mise à l’écart de Moussa Sissoko du groupe France serait les performances de Watford en championnat. Solide capitaine d’une équipe prenant l’eau dans cette Premier League, les bonnes performances du Français n’ont pas permis un miracle en fin de saison. « Je continuais de recevoir les pré-convocations de Didier Deschamps, donc j’ai toujours des espoirs en équipe de France. »
Paul Chevalier.