Le FC Metz, 16e de Ligue 1 avant la rencontre, a pu compter sur une stratégie efficace du coach messin pour vaincre les Canaris.
« Il y a toujours des calculs qui entrent en jeu. Ils ont tout misé sur l’attaque et je ne voyais pas comment renforcer ma défense. Je n’ai pas senti nécessaire de faire des changements et garder les équilibres. Marquer, c’est une bonne nouvelle pour nous (…) C’est délicat de parler de tactique. Nantes est une très bonne équipe, avec une bonne attaque. On a gagné la bataille au milieu parce qu’on avait un joueur supplémentaire. Et on a réussi à bien utiliser les espaces dans le dos de la défense. »
De son côté le coach nantais n’a pas fait de langue de bois en conférence de presse.
« Chaque match a sa vérité, là encore une fois, on est beaucoup trop friable dans les transitions. Ça ne doit pas nous donner de crainte à jouer et se porter vers l’avant mais il faut être beaucoup plus impactant, mieux géré les quatre contre trois ou trois contre deux. Je ne sais pas combien de fois ils sont venus dans notre surface de réparation et combien de fois ils ont frappé au but mais on encaisse trois buts sur des ballons qu’ils récupèrent à 20/30 mètres de leur but. »
Dans les vestiaires, Pierre Aristouy a fait table rase du bon début de saison nantais.
« Avec autant de carences, on ne peut pas espérer grand-chose. On s’était peut-être vus trop beaux après notre série de quatre victoires en cinq matches, là on retourne les pieds sur terre. », interview Ouest France.
