C’est à plus de 4.000 kilomètres de la Beaujoire que les Canaris tenteront de confirmer après la victoire face à l’Olympiakos, jeudi dernier. Arrivés sur place hier, la distance n’est pas un problème, affirme Ludovic Blas. « Un long voyage, c’est ce qu’on voulait aussi, ce n’est pas un problème. On est venu un peu plus tôt pour récupérer. Dans la tête, tout le monde est prêt. » Malgré la distance, il n’y a que deux heures de décalage entre la France et Azerbaïdjan.
« On allège les entrainements pour être prêts le weekend ou la semaine. » L.B
Facteur important, l’état physique. Les matchs s’enchaînent actuellement, mais aucun signe inquiétant à relever, rassure Ludovic Blas. « Chaque joueur de l’équipe veut titiller les grandes compétitions. On ne peut pas rester et dire que si ça se passe mal, c’est par ce qu’on joue tous les trois jours. Peut-être que physiquement, après le match, tu es fatigué, mais le jour d’après, c’est terminé. On allège les entrainements pour être prêts le weekend ou la semaine. Il n’y a pas d’excuses là-dessus, il ne faut pas se mettre ça en tête. »
« On vient ici pour jouer un match et rentrer avec les trois points. »
Actuellement, un conflit touche l’Azerbaïjan et l’Arménie, et très récemment, les tensions ont été ravivées à la frontière des deux pays, provoquant la mort d’au moins cent soldats. Un paramètre important qui jouera dans la tête des locaux. Du côté des Nantais, « on est là pour jouer au football. » Ludovic Blas est ainsi resté très évasif à ce sujet. « On vient pour ça. Le contexte est différent vis-à-vis de chacun. On vient ici pour jouer un match et rentrer avec les trois points. On reste focus sur nos objectifs.«
