Dans le cadre de la onzième journée de Ligue 1, les Canaris reçoivent le Stade de Reims ce dimanche et ce, devant près de 30.000 spectateurs. 48 heures avant le match, Pierre Aristouy s’est présenté devant les journalistes afin d’évoquer la rencontre.
Six jours après la lourde défaite nantaise à Lens (4-0), le coach des Jaune-Et-Vert est revenu plus en détail sur cette déconvenue, parlant de « conclusions multiples », positives et négatives, tirées à l’issue de la rencontre. Selon l’entraîneur nantais, « le score est un peu lourd mais il vient sanctionner nos manques dans le jeu ».
Il est également revenu sur le style de jeu utilisé au cours du match : « Le jeu que l’on souhaite mettre en place nécessite de la motivation. Etymologiquement parlant, le mot motivation vient de mouvement. Donc lorsqu’on manque de mouvement, on n’a plus cette capacité à développer ce qu’on peut proposer lorsqu’on est davantage dans l’entrain. ».
Concernant ce système de jeu, il a d’ailleurs évoqué sa mise en place lorsque le FC Nantes était mené à Lens : « A 2-0 contre nous, la sensation d’impuissance se traduit par des joueurs trop figés, qui n’ont plus la réaction et le temps d’avance par rapport à l’adversaire. ».
« Reims est une équipe qui fonctionne bien »
Au cours de cette conférence de presse, Pierre Aristouy a parlé de l’adversaire du week-end, le Stade de Reims, parlant « d’une équipe qui fonctionne bien ».
Concernant l’équipe de son homologue Will Still, le coach nantais a également fait l’analyse de cette formation rémoise durant la conférence de presse : « C’est notamment une formation qui se caractérise par un aspect défensif efficace et très fort. Les Rémois sont premiers de toutes les équipes du championnat dans les duels défensifs, dans les interceptions. ».
Au-delà de l’aspect défensif du jeu rémois, Pierre Aristouy a aussi parlé de deux joueurs offensifs des Champenois : « Dans leur jeu, ils possèdent une forme de mouvements permanents, des joueurs insaisissables comme Teddy Teuma et Junya Ito sur le plan offensif. ».
