« On voit enfin le bout de ce marathon » se rassurait, avant le déplacement à Paris, Antoine Kombouaré. Défaits au Parc des Princes ce samedi (4-2), les Canaris ont conclu une série de onze matches en cinq semaines sur les rotules. Depuis le 29 janvier et un triste nul obtenu à Clermont (0-0), le FCN a en effet enchaîné des matches tous les trois jours dont quelques longs déplacements à Ajaccio, Turin et Lens. Alors avant de retrouver la Ligue 1 dimanche prochain, les Jaunes disposent de deux jours de repos complets.
Trois victoires et quatre nuls.
Pour l’entraîneur nantais : « Les garçons tiennent parce qu’on parle de bons soucis. » Engagé dans trois compétitions cette saison, Nantes était en effet le dernier club français encore en lice en coupe de France et en coupe d’Europe avant sa défaite face à la Juventus. Un emploi du temps de ministre qui a eu des conséquences sur les prestations en championnat avec sept points pris en autant de matches de Ligue 1. « Il y a beaucoup de fatigues avec des gros matches qui se sont répétés. » expliquait le technicien.
Une pause qui tombe à pic, donc, et à laquelle Antoine Kombouaré accorde une réelle importance. « On dort, on voit nos familles, on retrouve les enfants, etc.. C’est important de s’oxygéner pour couper un peu avec le foot. Quand on revient, il y a de l’énergie. » assurait-il. Après cette courte pause, les Nantais devront appréhender la réception de Nice ainsi que les deux oppositions face à l’OL, en Ligue 1 et surtout en demi-finale de coupe de France.
Propos retranscrits depuis fcnantes.com.