À 31 ans, le milieu de terrain est plus proche d’une fin de carrière que du début. S’il n’exprime pas de « passion réelle » pour une future reconversion, il avoue avoir aimé un travail en particulier (Ouest France).
« Je pense que j’aurais aimé être pilote d’avion. Être dans un avion, c’est déjà une chose incroyable, alors pilote… »
Si rien n’est acté car le joueur est très bien physiquement, un retour à Montpellier dans dix ans n’est pas exclu puisqu’il explique avoir une maison là-bas. Une reconversion professionnelle dans le foot ou en dehors ? Il évoque ses idées.
« Peut-être dans le foot. Après, ça peut être aussi totalement autre chose. Faire des business, de l’immobilier, ouvrir un restaurant, quelque chose pour ma conjointe. Pour l’instant, ce sont les grosses idées. »
« Toujours croire en soi, ça permet d’accomplir ce que l’on souhaite le plus dans la vie. »
Si Florent Mollet dresse le portrait du gendre idéal, il ne cachait pas avoir un caractère de boudeur en mars dernier en interview pour TéléNantes.
« Concernant mon caractère boudeur ? C’est dû à ma volonté de faire mon métier à fond, d’être performant. Puis, même à l’entraînement, tu ne peux pas prendre ça à la légère. Donc, c’est vrai que parfois quand ça ne va pas à l’entraînement, je peux bouder mais au bout de cinq minutes, une fois dans les vestiaires, ça va mieux et je peux embrasser tout le monde. En réalité, il faut être un compétiteur et donner un peu aussi de soi pour booster un groupe. »
« Jean-Charles Castelletto, c’est lui qui boude quand je le bats »
« En dehors du terrain, je suis beaucoup moins mauvais joueur parce que c’est différent. On ne va pas bouder parce qu’on perd une partie de ping-pong, même si Jean-Charles Castelletto, c’est plus lui qui boude quand je le bats. Après, c’est deux choses différentes, le football, c’est mon métier. C’est ce qui me fait gagner ma vie, il faut que je fasse les choses correctement pour avoir les meilleures performances possibles. »