La finale est passée, mais la page n’est pas tournée, pas encore. Pourtant, il le faudra bien contre le Stade Brestois ce mercredi 3 mai, pour la 33e journée de Ligue 1.
« On est à deux jours d’un match crucial » assurait Antoine Kombouaré en conférence de presse ce lundi 1er mai
L’entre-deux-matches
Du stade de France au stade Francis-Le Blé, Antoine Kombouaré et ses joueurs auront eu « deux séances d’entraînements pour préparer ce match » contre les Bretons. Le temps est limité, le FC Nantes le sait mais il n’est plus le temps de trouver des excuses « on doit être prêt« , assure Coach Kombouaré.
Avant l’entraînement, l’entraîneur des Canaris a confirmé qu’il discuterait avec les joueurs. « On va échanger, trouver des solutions. Il y aura des montages vidéos, on ira sur le terrain, on fera quelques changements quand même pour les impliquer encore plus. Mais je vais les rassurer, pour que mercredi, on montre un autre visage, on ait envie d’attaquer ce match« .
Cela s’est avéré. Avant l’entame de cet entraînement, Ouest France nous apprend qu’une « soixante de supporters » auraient échangé avec tout le collectif.
FC Nantes. Une soixantaine de supporters s’invite à la Jonelière pour échanger avec les joueurs #FCNantes #Football #Sport @OuestFrance https://t.co/QGnFPkd9v0
— David Phelippeau (@dphelippeau) May 1, 2023
Brest, le match qui peut soulager
17e de Ligue 1 et longtemps dans le rouge pour ne pas faire figure au maillot, le stade Brestois est pourtant, depuis quelques matches de retour vers le maintien.
La dernière défaite du club remonte au 11 mars contre le Paris Saint-Germain (1-2). Depuis, c’est deux victoires et trois matches nuls. Un bilan aux antipodes des Jaune-et-Vert, qui comptabilisent uniquement deux victoires sur les dix dernières rencontres de Ligue 1.
« On s’attend à un match compliqué. C’est une équipe généreuse et agressive » déclarait le coach du FC Nantes cet après-midi.
Pour la 33e journée de Ligue 1, les Canaris se déplaceront donc à Brest pour gagner des points. « Ce match est crucial, pour ne pas dire capitale » avouait A. Kombouaré en conférence de presse. Mais il reste six matches à jouer pour le maintien, « il faut se remobiliser« .