Après les premières phases de qualification, Samuel Moutoussamy a pris son ticket pour la CAN avec la République démocratique du Congo, Mostafa Mohamed avec l’Egypte, Moses Simon avec le Nigéria, Ignatius Ganago et Jean-Charles Castelletto avec le Cameroun. Même si ces deux derniers ont été moins présents lors du dernier rassemblement de leur équipe, la probabilité d’être à la Coupe d’Afrique des Nations reste très forte.
Jaouen Hadjam, titulaire face à l’Ouganda avec l’Algérie en juin, a moins de temps de jeu avec les Canaris ces temps-ci. Il n’a donc pas été appelé la semaine dernière en sélection. On peut conclure que le Fennec a actuellement moins de chance de participer à la CAN avec son pays. Même situation pour Lamine Diack. Le milieu de terrain a des problèmes d’intégration et d’adaptation avec son nouveau groupe.
Un hiver rude.
S’il s’agit de la CAN 2023, le match d’ouverture de la compétition aura bien lieu le 13 janvier 2024 et la finale le 21 février. Pour l’Égyptien, le Nigérian et surtout les Camerounais, l’absence loin de la Beaujoire risque d’être plus longue que les autres. En effet, ces nations ont une forte tendance à aller plus loin dans la compétition que les autres. Une absence pendant plus d’un mois est possible.
Sur cette période, les Canaris affrontent Clermont (16e), Reims (4e), Lens (17e), Toulouse (12e) et le PSG (2e). Aucun risque pour Quentin Merlin et Bastien Meupiyou qui joueront sûrement l’Euro des Espoirs à partir du 21 juin, bien après la fin de la Ligue 1.